Urbanisme
Actualités Urbanisme
-
Par une délibération, l’assemblée délibérante de la communauté urbaine de Lyon a décidé de la création d’une zone d’aménagement concerté (ZAC) sur le territoire de la commune de Limonest.
-
Urbanisme
CE, 23 novembre 2005, Commune de Pont-de-l’Arche, no 280574
Une commune décide de préempter un bien mis en vente. L’acquéreur évincé intente alors une action devant le juge administratif des référés qui suspend l’arrêté de préemption. -
Urbanisme
CE, 23 septembre 2005, Commune de Saint-Valliers-sur-Rhône c/ Société Saria Industries, no 276772
Se fondant sur l’article R. 421-1 du Code de l’urbanisme, le Conseil d’État a dégagé le principe selon lequel la demande de permis de construire doit être impérativement accompagnée d’une autorisation d’occupation du domaine public lorsque la construction est envisagée sur une dépendance du domai -
Urbanisme
CE, 23 juillet 1993, Association de défense de la protection foncière et de la protection de l’environnement de la Flotte-en-Ré et de sa région, no 106227
Les dispositions des articles R. 123-24 et R. 123-25 du Code de l’urbanisme prévoient les règles relatives au caractère exécutoire ainsi qu’à la publicité de l’acte prononçant la mise en compatibilité d’un plan d’occupation des sols (POS) ou d’un plan local d’urbanisme (PLU) avec une déclaration -
Urbanisme
CE, 23 mai 2003, Société Atlantique Terrains, nos 256162 et 254837
Une communauté urbaine a décidé de préempter des terrains. L’acquéreur évincé intente une action devant le juge administratif des référés qui rejette sa demande. -
Urbanisme
CE, 23 juin 1995, Ministre de l’Équipement, du Logement, de l’Aménagement du territoire et des Transports c/ Société de promotion industrielle et commerciale et autres, no 090211
Cet arrêt organise les conséquences provoquées par un conflit entre deux règles de fond applicables au permis de construire, en l’espèce, un plan d’occupation des sols et un règlement du lotissement. -
Urbanisme
CE, 23 mars 1979, Valentini, no 07654
Un préfet approuve par arrêté un plan d’aménagement de zone (ZAC) d’une zone d’aménagement concerté. Des particuliers intentent une action devant le juge administratif qui rejette leur demande. -
Urbanisme
CE, 23 avril 2003, Association Vivre à Endoume – Défense et environnement, no 249918
Une commune, après avoir conclu une promesse de vente d’un bien public communal, délivre à l’acquéreur cinq permis de construire portant sur trois immeubles d’habitation et deux parkings. -
Urbanisme
CE, 22 octobre 1982, Le Queau, no 31661
Un habitant d’une commune a fait une demande de permis de construire qui lui a été refusé par arrêté préfectoral. Afin de faire annuler l’arrêté, le demandeur du permis saisit le juge administratif. -
Urbanisme
CE, 22 février 1995, Commune de Veyrier-du-Lac, no 123421
Une société civile immobilière (SCI) décide de vendre un de ses immeubles. Pour cela, son représentant légal fait une déclaration d’intention d’aliéner (DIA) en mairie. -
Urbanisme
CE, 22 juin 1990, Commune de Longpont-sur-Orge, no 83652
Une commune, pour l’aménagement d’une zone d’aménagement concerté (ZAC), confie la réalisation des ouvrages d’assainissement et des réseaux d’électricité à une société chargée de l’aménagement. -
Urbanisme
CE, 23 février 2005, Ministre de l’Équipement c/ Association de défense de l’environnement nivernais, no 271131
L’article R. 431-32 du Code de l’urbanisme dispose qu’un permis de construire peut être prorogé pour un an sur demande de son bénéficiaire, à la condition toutefois que les prescriptions d’urbanisme et les servitudes de tous ordres auxquelles est soumis le projet n’ont pas évolué de façon défavor -
Urbanisme
CE, 22 juin 1983, Centre commercial Mammouth, no 38258
Un préfet a autorisé l’exploitation d’une jardinerie dans un centre commercial puis pris un arrêté accordant un permis de construire pour cette jardinerie. Un comité interprofessionnel ainsi qu’une union attaquent ces décisions en prenant appui sur l’article 29 de la loi du 27 décembre 1973. -
Urbanisme
CE, 22 juin 1992, Cordier, no 93253
Le lotissement est défini par le Code de l’urbanisme comme toute division d’une propriété foncière en vue de l’implantation de constructions, sur une période de dix ans et ayant pour objet de porter à plus de deux le nombre de terrains issus de la division. -
Urbanisme
CE, 22 septembre 1997, Commune de Morsang-sur-Orge, no 160491
Le maire de la commune de Morsang-sur-Orge accorde à une société civile immobilière un permis de construire un bâtiment d’une surface hors œuvre nette de 995 m2 dont 640 m2 de commerce et d’activités. -
Urbanisme
CE, 22 avril 2005, Commune de Barcarès, no 257877
À la suite d’une déclaration d’intention d’aliéner une commune décide de préempter un bien immobilier en vente. L’acquéreur évincé intente une action devant le juge administratif qui annule la décision communale. -
Urbanisme
CE, 22 févier 1991, Sidec c/ Commune d’Aubervilliers, nos 97312 et 97313
Lors de la vente d’un bien immobilier la commune décide après délibération de le préempter. La commune confie alors à une société l’opération d’aménagement du terrain préempté afin de pouvoir conserver sur le territoire de la commune une entreprise. -
Urbanisme
CE, 22 novembre 2002, Comité fédératif pour la mise à deux fois deux voies de la nationale 60, no 200294
Dans cet arrêt, le Conseil d’État considère que les dispositions des articles R. 123-16 et R. 123-17 alors en vigueur du Code de l’urbanisme, en application desquelles le plan d’occupation des sols (POS) est accompagné d’un rapport de présentation, sont non seulement applicables à la procédure d’ -
Urbanisme
CE, 22 juillet 1992, Syndicat viticole de Pessac-Léognan et autres, no 86228
Dans cet arrêt, le Conseil d’État apporte des précisions sur la création d’une zone d’aménagement différé sur des espaces agricoles. -
Urbanisme
CE, 22 février 1995, Commune de Ville-la-Grand, no 122395
Un particulier vend son immeuble situé en zone soumise à droit de préemption et envoie une déclaration d’intention d’aliéner en mairie. La commune préempte le bien. Le vendeur intente une action devant le juge administratif qui annule la décision de préemption.