Urbanisme
Actualités Urbanisme
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L’article R. 412-2 du Code de l’urbanisme ainsi que l’article 2 du décret du 12 octobre 1977 imposent au pétitionnaire, dans certaines circonstances uniquement, de joindre à sa demande de permis de construire une étude d’impact.
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CE, 10 juin 1988, Société civile immobilière de la zone d’aménagement concerté de Villarceau et autres c/ Préfet du Val-de-Marne, nos 73833, 73940 et 74102
Un préfet approuve par arrêté un plan d’aménagement de zone (PAZ) d’une zone d’aménagement concerté (ZAC). Une association intente une action devant le juge administratif qui annule l’arrêté. -
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CE, 10 février 2010, Commune de Saint-Lunaire, no 327149
Dans cet arrêt, le Conseil d’État vient rappeler qu’en application de l’article L. 300-2 du Code de l’urbanisme, la délibération prescrivant la révision du plan local d’urbanisme (PLU) doit porter à la fois sur les objectifs de cette mise en révision du PLU poursuivis par la commune (ou l’établis -
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CE, 10 mai 1996, Syndicat de défense des AOC Muscadet, no 126696
Dans cet arrêt, le Conseil d’État vient préciser qu’une commune ayant engagé la procédure de révision du plan d’occupation des sols (POS) prévue au premier alinéa de l’article L. 123-4 du Code de l’urbanisme peut également mettre en œuvre, simultanément, la procédure de modification du plan, défi -
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CE, 10 mai 1989, Association Défense du patrimoine sétois, no 88904
Le maire de la commune de Sète accorde plusieurs permis de construire à différentes sociétés civiles immobilières. L’association de défense du patrimoine sétois attaque ces décisions de permis de construire. -
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CE, 10 mars 2006, Société Leroy Merlin, no 278220
Une commission départementale d’équipement commercial a autorisé une société (Leroy Merlin) à créer un magasin de bricolage de vente sur le territoire d’une commune. Suite au recours d’une association, cette autorisation fut annulée en première instance, ainsi qu’en appel. -
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CE, 10 mars 1995, Commune de Digne, no 108753
Le conseil municipal de Digne refuse de vendre un terrain appartenant à son domaine privé à une société désirant y construire un supermarché, au motif qu’il existait des demandes antérieures pour le même type d’activité et sur la nécessité de ne pas multiplier les grandes surfaces commerciales da -
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CE, 10 février 1997, Association pour la défense des sites de Théoule, no 119959
Le Conseil d’État opère, dans un arrêt du 10 février 1997, un revirement de sa jurisprudence concernant les délibérations arrêtant les projets de révision d’un plan d’occupation des sols (POS) des communes. -
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CE, 10 février 1995, Commune de Watten, no 125664
Le locataire d’un terrain a obtenu un permis de construire. Le voisin, lui aussi locataire, intente une action devant le juge administratif qui annule le permis. -
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CE, 10 mars 2010, Levy c/ Communauté urbaine de Strasbourg, no 323081
Une communauté urbaine décide de préempter des immeubles en vente. Les propriétaires intentent une action devant le juge administratif au moyen que le prix fixé par le juge de l’expropriation est inférieur à celui de la promesse qu’ils avaient passée avec l’acquéreur évincé. -
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CE, 10 juin 1991, no 75869
Un propriétaire s’est vu accorder un permis de démolir. Un tiers intente alors une action devant le juge administratif afin de faire annuler l’arrêté de démolition ce que le juge lui refuse. -
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CE, 9 janvier 2009, Ville de Toulouse, no 307265
Il est de jurisprudence constante que lorsque des travaux interviennent sur une construction existante, dont le projet a fait l’objet d’un permis de construire, ceux-ci relèvent de la procédure de permis modificatif, à moins que ce projet soit achevé et qu’une déclaration d’achèvement de travaux -
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CE, 9 mars 1990, Stockhausen et Trudelle, no 42563
Une association de défense de l’environnement souhaite faire annuler un arrêté ayant accordé un permis de construire en vue de l’agrandissement et la modification des façades d’un bâtiment d’habitation. En première instance, cette demande fut rejetée. -
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CE, 9 mai 1990, Comité de défense de l’îlot Gros-Boulainvilliers, no 94704
Une commune approuve par délibération un projet d’aménagement d’un jardin situé dans le périmètre d’une zone d’aménagement concerté (ZAC). Une association intente une action devant le juge administratif qui rejette sa demande. -
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CE, 10 janvier 1973, Ministre de l’Équipement et du Logement c/ Société civile d’Ederrena, no 85 629
Dans cet arrêt, le Conseil d’État a apporté des précisions sur le cumul des contributions. En l’espèce, il était question d’une demande de remboursement d’une participation versée pour le financement de travaux d’extension du réseau d’électricité. -
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CE, 9 février 1996, Commune de Coulanges-les-Nevers, no 111966
S’agissant de la validité d’un certificat de conformité, le Conseil d’État pose le principe selon lequel la circonstance qu’un permis de construire aurait été obtenu par fraude n’est pas un motif de refus valable d’un certificat de conformité, et ce à partir du moment où le pétitionnaire est bien -
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CE, 9 juin 1995, Monsieur et madame Tchijakoff, no 127763
L’article 11 du décret du 21 septembre 1977 pris pour application de la loi du 19 juillet 1976 précise que le préfet doit statuer dans un délai de trois mois à compter du jour de la réception par la préfecture du dossier de l’enquête transmis par le commissaire enquêteur. -
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CE, 10 janvier 2005, Société Sofiservice, no 252307
Le changement successif d’exploitants d’un site soumis à installation classée pose de nombreux problèmes d’un point de vue de la responsabilité du passif environnemental et de l’obligation de remise en état posée par l’article L. 512-17 du Code de l’environnement selon lequel l’obligation de remi -
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CE, 8 novembre 1985, Mesdemoiselles Cavel et Gillet, no 45417
En l’espèce, un permis de construire pour un bâtiment à usage de porcherie avait été délivré par l’autorité compétente (le maire). -
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CE, 9 février 1977, Vergès, no 00114
Après avoir obtenu un permis de construire, dont la validité est d’un an, afin de faire surélever sa maison, le requérant a attendu 353 jours avant de déclarer les travaux ouverts.